Accoudé au bastingage, matelot ou t’en vas-tu ?
Je m’en vais vers le grand large, je m’en vais vers l’inconnu
Qu’as-tu mis dans tes bagages, qu’as-tu pris pour ces longs jours ?
N’y ai mis que des images, doux reflets de mes amours
Et le soir sous les étoiles, la lune pour seule amie
J’écrirai sur la grand voile les histoires de ma vie
As-tu peur des grands orages, as-tu peur de ces grands vents ?
Qui ont fait tant de naufrages, emportant tant de printemps
J’ai peur des éclairs sauvages qui se brisent dans les cieux
Et du cri de forte rage de la colère de ses Dieux
Et un jour plein de courage, le doigt pointé vers l’horizon
J’écrirai sur blanche page une prière aux compagnons
As-tu vu près des nuages cet oiseau immaculé ?
Qui te montre le passage vers la terre désirée
J’ai touché son beau plumage quand près de moi s’est posé
Il a repris beau courage et sans bruit s’en est allé
Et demain sur le rivage, sous le soleil moribond
J’écrirai en bel hommage un poème ou une chanson
Je m’en vais vers le grand large, je m’en vais vers l’inconnu
Qu’as-tu mis dans tes bagages, qu’as-tu pris pour ces longs jours ?
N’y ai mis que des images, doux reflets de mes amours
Et le soir sous les étoiles, la lune pour seule amie
J’écrirai sur la grand voile les histoires de ma vie
As-tu peur des grands orages, as-tu peur de ces grands vents ?
Qui ont fait tant de naufrages, emportant tant de printemps
J’ai peur des éclairs sauvages qui se brisent dans les cieux
Et du cri de forte rage de la colère de ses Dieux
Et un jour plein de courage, le doigt pointé vers l’horizon
J’écrirai sur blanche page une prière aux compagnons
As-tu vu près des nuages cet oiseau immaculé ?
Qui te montre le passage vers la terre désirée
J’ai touché son beau plumage quand près de moi s’est posé
Il a repris beau courage et sans bruit s’en est allé
Et demain sur le rivage, sous le soleil moribond
J’écrirai en bel hommage un poème ou une chanson
