J’ai toujours l’impression de voir un mirage,
Quand dans la rue je vois ton visage.
Et quand nos yeux se croisent,
Je vois ton regard me dire tourne la page.
Mais est-ce que un jour seulement deviendra-t-on sage ?
Dans un pays que je ne reconnais plus,
Dans un esprit décu et un corps mal foutu,
Mon cœur me dit que je suis perdu.
Et ce même cœur ne bat plus.
Rien qu’a l’idée de cette soirée où on avait trop bu.
Comment ai-je pu commettre cette méprise ?
Et comment pardonner telle traitrise.
Alors que dans ces temps de crise.
Mettre les doigts dans la prise,
N’est plus surprise.
Ca ma empêcher de te voir tout en te regardant.
Mais j’ai su en tirer mon enseignement.
Et maintenant tout en pleurant,
Je t’écris en espérant ;
Que ma vie prendra un tournant.
Dans ce monde de voleur.
Où ne m’habite plus que la peur.
Suis-je encore à l’heure ?
Où as-tu déjà pris ton choix.
Tu partiras loin de moi.
Saurai-je capable d’accepter ?
Si je vois ton dos se retourner.
Et ton cœur se refermer.
Où est-ce que je vais de nouveau tomber ?
Comme je l’ai fait l’an dernier.
Je n’ai jamais cessé de t’aimer.
Pendant tout ce temps, que sans toi j’ai du passer.
Et même si ceci te fais l’effet d’une lame.
Se texte enflammé ;
N’est que le cri de mon âme.
je t’ai aimé, je t’aime et je t’aimerai.
*************************************************************************************
Voilà, je ne sais pas ce qui me pousse aujourd’hui alors que depuis tant de temps, je suis meurtri.
Mais ci je t’écris une lettre et un poème c’est parce que certainement j’aurais jamais été assez fort pour affronter ton regard devant ces trois seul mots.
Si je t’écris un poème c’est parce que j’ai rien de mieux,
Rien de mieux à t’offrir de tous ce que j’ai.
Bien sûr il y a mon cœur et mon amour qui ne batte et vive que pour toi.
Mais est-ce que seulement sa suffira ?
Je ne pourrai peut-être jamais t’emmener à l’autre bout du monde pour une balade en croisière.
Ni t’offrir le dernier bijou a cent millions de dollars.
Avec moi tu ne seras jamais la princesse dans un château avec la vie toute en rose.
Mais tu serras ma reine dans un empire qui ne vivra que pour tes yeux. Et sur notre trône on construira notre vie à deux.
Et jusqu’au jour où les ailes de Gabriel viendront te chercher, je serai à tes côtés et j’aurais soin de toi.
Et même si notre amour (si amour existe) n’a pas très bien débuté, comme on aurait pu l’espérer. J’espère qu’on sera recommencé pour ne jamais arrêter.
Je ne suis pas toujours la personne que j’aimerais être, mais pour toi je laisserai de côté se paraître pour ne laisser place plus qu’au « être ». Et avec toi j’espère pour toujours l’être.
Et si tu décide de ne pas venir, j’essayerai de changer pour qu’on puisse rester en toute amitié.
Tu m’as rendu prisonnier d’un sortilège que je n’ai jamais connu.
Tu m’as rendu malade et je tousse quand je ne te vois pas.
Et cette maladie incurable nommée la maladie d’amour me rend fou, fou fe toi.
JE T’AIME.
Quand dans la rue je vois ton visage.
Et quand nos yeux se croisent,
Je vois ton regard me dire tourne la page.
Mais est-ce que un jour seulement deviendra-t-on sage ?
Dans un pays que je ne reconnais plus,
Dans un esprit décu et un corps mal foutu,
Mon cœur me dit que je suis perdu.
Et ce même cœur ne bat plus.
Rien qu’a l’idée de cette soirée où on avait trop bu.
Comment ai-je pu commettre cette méprise ?
Et comment pardonner telle traitrise.
Alors que dans ces temps de crise.
Mettre les doigts dans la prise,
N’est plus surprise.
Ca ma empêcher de te voir tout en te regardant.
Mais j’ai su en tirer mon enseignement.
Et maintenant tout en pleurant,
Je t’écris en espérant ;
Que ma vie prendra un tournant.
Dans ce monde de voleur.
Où ne m’habite plus que la peur.
Suis-je encore à l’heure ?
Où as-tu déjà pris ton choix.
Tu partiras loin de moi.
Saurai-je capable d’accepter ?
Si je vois ton dos se retourner.
Et ton cœur se refermer.
Où est-ce que je vais de nouveau tomber ?
Comme je l’ai fait l’an dernier.
Je n’ai jamais cessé de t’aimer.
Pendant tout ce temps, que sans toi j’ai du passer.
Et même si ceci te fais l’effet d’une lame.
Se texte enflammé ;
N’est que le cri de mon âme.
je t’ai aimé, je t’aime et je t’aimerai.
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Voilà, je ne sais pas ce qui me pousse aujourd’hui alors que depuis tant de temps, je suis meurtri.
Mais ci je t’écris une lettre et un poème c’est parce que certainement j’aurais jamais été assez fort pour affronter ton regard devant ces trois seul mots.
Si je t’écris un poème c’est parce que j’ai rien de mieux,
Rien de mieux à t’offrir de tous ce que j’ai.
Bien sûr il y a mon cœur et mon amour qui ne batte et vive que pour toi.
Mais est-ce que seulement sa suffira ?
Je ne pourrai peut-être jamais t’emmener à l’autre bout du monde pour une balade en croisière.
Ni t’offrir le dernier bijou a cent millions de dollars.
Avec moi tu ne seras jamais la princesse dans un château avec la vie toute en rose.
Mais tu serras ma reine dans un empire qui ne vivra que pour tes yeux. Et sur notre trône on construira notre vie à deux.
Et jusqu’au jour où les ailes de Gabriel viendront te chercher, je serai à tes côtés et j’aurais soin de toi.
Et même si notre amour (si amour existe) n’a pas très bien débuté, comme on aurait pu l’espérer. J’espère qu’on sera recommencé pour ne jamais arrêter.
Je ne suis pas toujours la personne que j’aimerais être, mais pour toi je laisserai de côté se paraître pour ne laisser place plus qu’au « être ». Et avec toi j’espère pour toujours l’être.
Et si tu décide de ne pas venir, j’essayerai de changer pour qu’on puisse rester en toute amitié.
Tu m’as rendu prisonnier d’un sortilège que je n’ai jamais connu.
Tu m’as rendu malade et je tousse quand je ne te vois pas.
Et cette maladie incurable nommée la maladie d’amour me rend fou, fou fe toi.
JE T’AIME.
